Livre - La patience du Diable : Maxime Chattam

La patience du Diable Maxime Chattam

LIVRE - LA PATIENCE DU DIABLE • MAXIME CHATTAM


 
Grâce à "L'Âme du mal" paru il y a 10 ans, Maxime Chattam à su s'imposer comme l'un des maîtres incontestables du suspense
Il est aujourd'hui traduit en plus de 15 langues et a vendu 4,5 millions d'exemplaires en France depuis ses débuts.

Courts chapitres, tension permanente, rebondissements, scènes d’horreur, héros émouvants qui conservent une part de mystère, structure cinématographique… Les atmosphères sont angoissantes et efficaces. 
C'est LA signature Chattam ! et c'est ce que l'on aime ;)
Grâce à une formation en criminologie il apprend les rudiments de la psychologie criminelle, de la police technique et scientifique et de la médecine légale pour notre plus grand bonheur


La patience du Diable : Maxime Chattam


Un go-fast pris en flag qui transporte bien pire que de la drogue…
Deux ados qui tirent sur les passagers d’un TGV lancé à pleine vitesse…
Des gens ordinaires découverts morts… de terreur.
Le Diable mène le bal, le monde est devenu fou.

Lieutenant à la Section de Recherche de Paris, Ludivine Vancker comprend bientôt qu’un fil sanglant relie ces faits divers. Rien ne pourra l’empêcher de remonter la piste à sa source. Aux racines de la peur.



La patience du Diable : Maxime Chattam : Mon avis

 
La Patience du Diable est la suite de La conjuration primitive
Je n'ai pas lu La conjuration primitive, mais apparemment il est conseillé de d'abord commencer par cet opus. Ce qui ne m'a pas du tout déranger dans ma lecture ;)

Le livre commence dans le vif avec un go-fast pris en flag, des ados qui tirent sur les passagers d’un TGV, des tueries, fusillade dans un restaurant, attaque à l’acide dans un centre commercial, bombes dans un cinéma...
Derrière tout ces rebondissements et ce chaos : le diable est nommé
Ou plutôt un tueur qui se prend pour le Diable
L'ambiance est donné dans les premières pages ... pas le temps de s'ennuyer

Ludivine Vancker et Segnon Dabo font partis de l’équipe des gendarmes à la section de recherche de Paris
C'est à eux que revient la quête de la découverte du Mal. 
Maxime Chattam nous entraîne dans de sombres affaires de violences extrêmes, de conscience personnelle, de mal malsain et nous fait vivre des scènes de suspense et d'action sanglante 

L'imagination du lecteur, c'est la Force de Chattam

On voit les scènes sanglantes, noires et froides, on arrive à sentir ces odeurs de sang et ce dégoût macabre
Il a un don d'écriture que j'admire. Même si dans ce livre la noirceur qui l'habitait dans La Trilogie du mal a beaucoup diminuée.
J'ai dégusté ce roman de la première à la dernière page
Je reste tout de même un peu sur ma "faim", car j'ai trouvé la "fin" très courte et trop vite arrivée. Trop rapide, j'aime avoir peur et être obligé de refermer mon livre pour respirer une bouffée d'air, avant de me replonger à corps perdu dans ses lignes noires
Dommage je n'ai pas eu cette surprise

C'est un sujet aussi très sensible et déstabilisant. Tout le monde peut rentrer dans ce moule de haine et de cruauté gratuite. C'est quelque part déstabilisant et gênant d'y penser, car mis à part qu'il s'agisse d'un roman, une fois le livre terminé et bien rangé dans la bibliothèque ces lignes d'écriture laisse un sentiment d'insécurité

Un cocktail très malsain que j'adore et j'attends le prochain roman avec impatience
Ce roman donne des sueurs froides mais je crois que depuis 10 ans au fil des lectures que nous propose Chattam, c'est ce que nous recherchons ;)


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